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16 janvier 2008 3 16 /01 /janvier /2008 23:29


et elles sont tombées dans les pièges des arnaqueurs de la photo de modèle!


(Le Parisien 04/01/2008)

Elles rêvaient de podium et de célébritémais n'ont vu du manne-quinat que l'envers du décor. Com­bien déjeunes filles sont chaque an­née victimes d'escroqueries voire de dérives bien plus graves ?jusqu'au viol ? en voulant marcher dans les pas des top-mo­dèles ? Longtemps, la loi du silence a étouffé ces affaires. Par peur de mettre une carrière en danger. Par honte aussi. Mais le vernis com­mence à craquer. A mesure que l'omerta se brise, les dossiers s'entassent sur le bureau pari­sien de Me Laurence Benadiba qui a fait des dé­rives du mannequinat l'une de ses spécialités. Les victimes n'ont pas seulement 20 ans. Des adultes de 70 ans, adirés par la figuration, tom­bent aussi dans le panneau. Une pseudo-entre­prise de casting est actuellement au c?ur d'une instruction exemplaire. James Chabert, prési­dent du Syndicat des mannequins profession­nels, estime que cette société installée en région parisienne aurait fait plus de 2 000 victimes en quatre ans. « L'agence » recrutait en déposant des frises de numéros de téléphone sur les ré­verbères ou dans les couloirs des facs. L'affiche promet des places de figurants sur les plateaux de cinéma. A « L'agence », les « bookers » jurent un avenir prometteur aux apprentis manne­quins qui versent alors 990 ? pour financer leur book. On leur propose des facilités de paiement avec la possibilité de contracter un crédit pour payer l'addition... Lorsqu'ils s'aperçoivent que l'agence n'est qu'une arnaque, il est trop tard « Les victimes ont voulu arrêter de rembourser leur crédit mais elles se sont retrouvées avec les huissiers à leur porte et des interdits bancaires », déplore le président du Syndicat des manne­quins. Car la maison de crédit à la consomma­tion, elle, était bien réelle.

230 sites sur le marché français

Dans cette affaire où l'on estime le nombre de victimes à deux mille, Me Benadiba a pour l'heure recueilli une trentaine de plaintes. « Les filles sont effondrées. Non seulement elles se sont fait dépouiller de leur argent, mais en plus leur rêve s'écroule. On leur a fait miroiter une carrière de mannequin. Elles se retrouvent en­dettées. On exploite leur fragilité. »

Avec l'explosion des castings sur Internet le risque s'est démultiplié.  Il existe plus de téléréalité a encouragé les escrocs qui font leur business sur la crédulité des jeunes filles. »

Plus graves sont les dérives sexuelles. Der­rière les sites de casting peuvent se trouver de vrais pervers. « Ils se disent photographes mais ne cherchent qu'à toucher, s'indigne le Syndi­cat des mannequins. L'innocence les attire. » Le témoignage de Marie (lire ci-dessous) n'est qu'un exemple parmi d'autres. « J'ai eu beau être sur mes gardes, je me suis laissé berner, et je me suis retrouvée seule avec lui dans cette chambre dTlôtel. » Sophie, 23 ans, a été violée. Le photographe lui fait le coup de l'agence qui ferme à 18 heures ? grand classique ? et pro­pose de poursuivre l'entretien dans son appar­tement, à deux portes de là. Pourtant méfiante, la jeune femme s'est laissé convaincre. C'était son premier rendez-vous, elle ne voulait pas compromettre ses chances de réussir. Elle a dé­posé plainte le lendemain. Mais faute de témoi­gnages similaires pour le moment le photo­graphe peut toujours donner rendez-vous aux jeunes filles une demi-heure avant la fermeture de l'agence.

emeline cazi


« Je suis méfiante, mais je n'ai rien vu venir... »

MARIE,  23 ans, a déposé plainte pour agression sexuelle


Vous avez vécu une expérience douloureuse en cherchant à travailler comme mannequin. Que s'est-il passé exactement ?


-Marie. J'ai déposé mes photos sur Castingfr, un photographe m'a contactée. Le pre­mier rendez-vous a lieu chez moi, en présence de mon conjoint et de ma fille. Il se présente en costume-cravate, avec son appareil, deux para­pluies, un ordinateur. Courtois, poli, trente-cinq ans d'expérience, dit-il. Il me met rapidement en confiance, discute avec mon ami, m'assure que j'ai un fort potentiel. La première séance se déroule dans le salon, sans vraiment de souci. A un moment il tente de m'embrasser dans le cou, je le repousse. Il n'insiste pas. N'auriez-vous pas dû vous méfier à ce moment-là ?


-Mon mari m'accompagne. Il discute à nouveau avec le photographe, voit que tout se passe bien et va faire un tour. La séance touche à sa fin lorsqu'il me demande une fiche détaillée de mes men­surations. Il commence par le tour de tête, le tour de cou, continue jusqu'au tour de poitrine. Là, il me demande de retirer mon soutien-gorge. Je refuse. Il insiste, explique que les sous-vêtements trompent les mesures. Je finis par le croire et je l'enlève. C'est là que tout dérapé
« Je me retrouve allongée sur le lit »

C'est-à-dire ?

-Il commence à me toucher les seins. Je ne peux


Vous ne trouviez pas étrange qu'il vous demande de vous déshabiller ?


-C'était ma première séance, je me suis fait ber­ner. Je ne savais pas qu'on n'a pas besoin de se déshabiller pour prendre les mensurations. Après, je me suis sentie fautive. Certains pen­sent que je l'ai cherché en acceptant ce rendez-vous. Mais ils ne connaissent pas le milieu. Beaucoup de séances se passent à l'hôtel. J'ai déposé plainte deux semaines plus tard Un policier n'a pas pu s'empêcher de me lancei « qu'en passant par Internet, il ne faut pas s'at­tendre à quelque chose de sérieux ». Mais il ne connaît pas le milieu. On ne trouve pas un pho­tographe dans le « 69 » ou le « Paru-vendu » Votre plainte a-t-elle abouti ? Elle a été classée sans suite faute de témoin.

Comment d
éjouer les pièges


? Ne jamais verser d'argent. Le cas­ting doit être considéré comme un entre­tien d'embauché, rien de plus. Pas d'argent à verser donc, ni de caution à laisser. « II ne vous viendrait jamais à l'idée de payer votre patron pour décrocher un poste. Pour les castings, c'est pareil », résume Me Laurence Benadiba, avocate de l'asso­ciation Stoppons les arnaques aux cas­tings (Slaac). Oubliez aussi les annonces comportant des numéros surtaxés. « Dès lors que l'on vous demande ne serait-ce qu'un euro, partez en courant. »


? Vérifier l'identité des personnes. Le responsable du Syndicat des manne­quins recommande de faire une recherche rapide sur Internet pour savoir qui se cache derrière ces sites. Infogreffe donne des informations très précises. « Les socié­tés se font très souvent passer pour des agences de mannequins, mais n'en sont pas. La plupart du temps, elles n'ont pas de licence », poursuit l'avocate. Plutôt que de se jeter sur les annonces de la Toile, elle conseille d'ailleurs d'acheter les revues spécialisées en kiosque, « elles suffisent amplement ».


? Ne jamais accepter de se désha­biller. Pas besoin de se mettre en sous-vê­tements pour faire prendre ses mensura- i tions. En pull et pantalon, c'est suffisant « Les mesures se prennent habillé, insiste Me Benadiba. Dès qu'on vous demande d'enlever le haut, fuyez et courez déposer plainte. » N'acceptez jamais non plus de photos dénudées. « Ce n'est pas comme cela que ça fonctionne. Les vraies agences de mannequins n'ont jamais recours à ces pratiques. »


? Un book ne s'achète pas à n'im­porte quel prix. Pour un book profes­sionnel, avec des photos de qualité, comp­tez en moyenne 600 ?. « Les photos des books à 200 ? sont inexploitables », pré­vient James Chabert, du Syndicat des mannequins. L'amaque pointe « dès qu'on vous propose un book en vous faisant mi­roiter que d'ici deux mois vous décroche­rez des contrats ».


Source : Le Parisien du vendredi 04 janvier 2008


Cet article est très intéressant mais il y a un point sur lequel nous ne sommes pas vraiment d'accord :

- Quand James Chabert dit "Pour un book profes­sionnel, avec des photos de qualité, comp­tez en moyenne 600 ?. « Les photos des books à 200 ? sont inexploitables », il fait une généralité qui mériterait un éclaircissement. Tout dépend du photographe d'une part et de la formule proposée pour ce prix, c'est-à-dire du nombre de photos vraiment différentes au final (et non pas du nombre de vues prises dans une même séquence), tout dépend du nombre de tenues différentes proposées avec maquillage et coiffure différents selon les tenues, tout dépend des changements de lumières, de fonds, éventuellement de décors et des lieux choisis (studio, intérieur, extérieur). Il faut savoir aussi qu'un book, même "complet", devra être mis à jour régulièrement avec des travaux photos de styles différents.
Il ne faut pas oublier non plus que ce n'est pas à la portée de tous de payer 600 / 800 euros pour se constituer un début de book.
Par exemple, lorsque nous proposons un book complet, cela implique 12 tenues différentes, maquillages et coiffures inclus. chaque changements de tenue avec maquillage et coiffure représente en moyenne 3/4 d'heure soit 9h auxquelles s'ajoutent les temps de poses : 1/2 heure minimum par tenue, soit 6h minimum. Faites le compte : 6 + 9 = 15h ! Il faut donc 2 jours de prises de vue pour réaliser un vrai book complet professionnel.


A cela s'ajoute le fait que la plupart des jeunes femmes désirant devenir mannequins ou modèles n'ont aucune expérience. Il faut donc passer parfois beaucoup plus de temps pour les diriger, les rassurer, les mettre à l'aise et leur enseigner le B+A=BA du modeling. Faire travailler une débutante demande 4 à 5 fois plus d'énergie et de temps que de travailler avec un mannequin professionnel.

En conclusion, il faut comparer ce qui est comparable et qu'il vaut mieux parfois pour commencer un vrai bon début de book à 200 ou 300? plutôt qu'un soit-disant book complet professionnel fait une une après-midi.

Pour vous faire une idée de ce que proposent Jean-Loup et Myrtille consultez leurs sites et leus tarifs et conditions !
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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 20:12
Combien d'électeurs perdus donc de voix perdues et comptabilisées comme "abstention" grâce aux votes par procuration ?

Je m'explique :

Entre un commissariat et une mairie de Paris, qui a intérêt à perdre des électeurs ?

Avec une procuration faite correctement, dans les temps, avec la carte d'électeur de la personne qui m'a donné la procu et nos cartes d'identité...

JE N'AI PAS PU VOTER POUR LA PERSONNE QUI M'A MANDATEE POUR LE FAIRE A SA PLACE !!!

Aucune raison valable ne m'a été donnée ormis que le nom de cette personne n'apparaissait pas sur les listes ! Donc qu'il était impossible de voter...

J'en ai vraiment marre de vivre dans un pays dans lequel beaucoup trop de "citoyens" à mon sens ne font pas leur travail. Sans parler du manque d'exemple venant d'en haut...

Ce qui vient de se passer, ça s'appelle priver quelqu'un de ses droits civiques. En ces temps particuliers et de plus en plus difficiles à vivre car - ne soyons pas aveugles - la classe moyenne disparaît, je trouve cela choquant, anormal, irrespectueux et même dangereux si beaucoup de procurations n'ont pas été validées bien qu'ayant été faites avant la date limite. Ce qui pourrait signifier, en imaginant le pire, que ça peut être un moyen de tronquer les élections...

A suivre...
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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 15:16
La pizzeria avec une belle vitrine en face de la gare d'Austerlitz Boulevard de l'Hopital à Paris.

Note : 0/10

Pourquoi ?

Un serveur agressif pas content qu'on lui face remarquer (gentilment) qu'un panneau extérieur indique "service 11h 21h après qu'il ait répondu qu'il ne travaille pas le dimanche (alors qu'est-ce qu'il faisait derrière le comptoir ????).

En résumé : 1 - Il déteste travailler le dimanche ; 2 - Insulte garantie meme si vous êtes poli... 3 - super enfumé donc pas du tout ventilé
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